Le commissaire Breton a décidé de censurer les "réseaux sociaux" sur lesquels se trouveraient des "propos haineux", terme désignant en fait tous ceux qui critiquent les régimes en place en Europe.

On peut constater un certain affolement chez les gardiens du temple. L’agence française de propagande (AFP) a créé son propre système dit de "fact checking" en copie d’autres subventionnés tels Le Monde ou Libération : "AFP factuel". Et bien sûr la falsification climatique est aux postes de commande.

AFP factuel est en partie financé par Facebook qui est une version dite "sociale" du mainstream, qu’il s’agisse de covidisme, géopolitique, climatisme. C’est dans cette optique que le sioniste Zuckerberg vient de créer dans son groupe Meta (à côté de Facebook et Instagram) Threads, qui se veut un concurrent de Twitter. Elon Musk, dont on n’est pas obligé de partager toutes les actions ni tous les propos, est perçu comme un perturbateur par les chiens de garde du système. Il est plus que probable que Twitter sera "observé" plus attentivement que les réseaux dirigés par les fayots sus-nommés. De même le sénat envisage de suspendre Tik-Tok. Au jeu du censeur le plus extrémiste Macron est en bonne place qui a proposé tout simplement la suspension des "réseaux sociaux" en cas d’émeutes.

On ne peut que se féliciter qu’il subsiste quelques lambeaux de l’état de droit comme cette décision du tribunal de commerce condamnant Le Monde pour dénigrement de France-Soir avec au total 35000 euros d’amende. Le journal de révérence a de quoi s’en remettre avec les 4 millions de dollars reçus de la fondation Gates, si l’on en croit cette source.