"Justice" Internationale" : des gros sabots
Génocide J+226 Jeux occidentistes J-65
mardi 21 mai 2024 par SHAHSHAHANI Volodia
Le 20 mai la furie génocidaire de l’entité judéo-nazie a fait encore plus de 100 morts dans la bande de Gaza en ciblant expressément les centres où elle avait demandé aux familles de se "réfugier", notamment à Beit Lahia . C’est le moment choisi par le procureur Karim Khan, président de la cour pénale internationale, pour rendre un verdict commandité par ses sponsors occidentaux qui, pour lui donner du crédit, se chargent de le dénoncer. La manip est d’une telle grossièreté que seuls des suppôts du sionisme devraient la gober.
La CPI, dont la spécialité était la poursuite de Yougoslaves et d’Africains, se penche cette fois sur le sort du peuple palestinien mais pour condamner ceux qui entendent le défendre. Il suffit de lire l’appel du président qui commence par trois dirigeants du Hamas - Haniyeh (dont l’occupant a assassiné les 3 enfants et 4 petits enfants), Sinwar et Al Masri. Ce n’est qu’après ce réquisitoire reprenant les habituelles infox sur les évènements du 7 octobre, que le "juriste" international se décide à nommer aussi les génocidaires - ainsi définis par l’autre instance internationale, la CIJ (cour internationale de justice) - avec Netanyahou et Galant. Ces derniers ont eu la franchise d’avouer leur volonté exterminatrice partagée par leur président, Herzog, et la quasi totalité du pouvoir sioniste.
En résumé : la Résistance qualifiée de "terroriste" par l’occident a droit au premier rôle avec trois acteurs et l’état génocidaire qualifié de "démocratie" par la presstitution au second avec seulement deux qualifiés.
Pour ce qui est des évènements du 7 octobre lorsque des partisans enfermés dans un camp de concentration ont réussi à abattre 350 SS (soldats sionistes) et capturer 250 colons pour les échanger contre les 10 000 prisonniers palestiniens, la vérité a été maintes fois démontrée, notamment par des enquêteurs israéliens. Quelques rappels ici et là
En cas de suite, les chefs sionistes ne seraient pas concernés, leur "pays" n’étant pas lié par la CPI, alors que ceux de la Palestine dont le "pays" a disparu, pourraient l’être. Mais le sujet est ailleurs.
La manipulation politico juridique de la CPI vise à préparer ce que les génocidaires et leur principal support nomment "après guerre". Il s’agit d’utiliser jusqu’à plus soif la clique Netanyahou pour poursuivre le carnage, puis le remercier par voie "électorale" grâce aux suffrages d’une population coloniale qui soutient toujours le génocide à hauteur de 80% (estimation basse).
Sur la "comparaison meurtrière" voir aussi ce rappel de Jonathan Cook.