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Musk-Twitter, Ukro-nazisme, climatisme

réinformation contre presstitution

samedi 7 janvier 2023 par SHAHSHAHANI Volodia

MUSK ET TWITTER FILES

"Presque toutes les théories du complot sur Twitter se sont révélées vraies" selon Elon Musk.. Et cela ne date pas d’aujourd’hui. En 2017 déjà, les anciens manipulateurs de Twitter s’impatientaient sous le pression du FBI : "Vous n’avez rien attribué à la Russie depuis un moment". Rapport du journaliste indépendant Matt Taibbi. [1]

GUERRE OTAN-RUSSIE

L’ex-président Hollande comme Merkel a voulu que les accords de Minsk permettent au régime ukro-nazi de gagner du temps dans sa guerre génocidaire contre les populations russes du Donbass. L’aveu de l’ancien président socialo-sioniste. [2]
Un autre résumé de cet alignement
Egalement sur Réseau Voltaire, le palmarès sioniste du socialiste français .

UKRO-NAZIS

Il faut vraiment sortir de la propagande mainstream française pour être informé de l’évidence. Des sources pourtant très différentes mettent en lumière la nature du régime issu du coup d’état "Maidan" organisé en 2014 par la CIA.
 pas vraiment un pro-russe, le premier ministre polonais. [3]

 "Ukro-nazisme et Shoah : Arno Klarsfeld ou le bug dans la Matrice sioniste" titre un article d’Egalité Réconciliation.
 Monuments des collaborateurs nazis en Ukraine érigés depuis 2014", y compris à proximité immédiate du carnage de Babi Yar.
 "Le Parlement et l’armée d’Ukraine célèbrent l’anniversaire du meurtrier fasciste Bandera" titre d’un article de Clara Weiss.

CONFINEMENT CLIMATIQUE

L’ expérience est menée à Oxford.
"Imaginez que vos politiciens fous de pouvoir aiment tellement les verrouillages Covid qu’ils veulent les poursuivre indéfiniment. Cela va être testé dans le Oxfordshire en Grande-Bretagne. Le conseil du comté d’Oxfordshire adopte un essai de verrouillage climatique qui débutera en 2024. Le conseil du comté d’Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l’une des six zones afin de sauver la planète du réchauffement climatique. La dernière étape du projet de ville en 15 minutes consiste à placer des barrières électroniques sur les principales routes d’entrée et de sortie de la ville, afin de confiner les habitants dans leur propre quartier. Si les habitants veulent sortir de leur zone, ils devront obtenir l’autorisation du Conseil, qui décidera qui est digne de liberté et qui ne l’est pas". Comment vivre la ville en 15 minutes.


[1L’article de RT France pour ceux qui n’ont pu contourner la censure exercée par les services de l’eurotan.
Un mois après la première salve de révélations des Twitter Files, le journaliste Matt Taibbi publie deux articles dans lesquels il évoque la pression politico-médiatique à laquelle a été confronté le réseau social ces dernières années. Le journaliste Matt Taibbi a publié le 3 janvier deux nouveaux articles venant s’ajouter à la saga des « Twitter Files » – un ensemble de révélations se basant sur des informations internes rendues publiques par l’entreprise californienne, à la suite de l’arrivée d’Elon Musk à sa tête. Le premier de ces nouveaux articles comprend des révélations sur l’existence de pressions politiques intenses sur Twitter, à partir de 2017, visant notamment à influencer la stratégie de modération de la plateforme ; le second montre que malgré leurs réticences initiales, de hauts responsables du réseau social ont finalement laissé plusieurs agences gouvernementales, en premier lieu le FBI, multiplier leurs sollicitations auprès de Twitter. 2017 : Twitter face à une pression politico-médiatique inédite ? Comme en témoigne la révélation de plusieurs échanges internes remontant à fin 2017, Twitter s’est à cette époque retrouvé au cœur d’une campagne politique, dont les acteurs accusaient le réseau social de ne pas suffisamment s’impliquer dans la lutte contre des menaces d’ingérence imputées à la Russie. Ainsi, dans un e-mail adressé à ses équipes le 29 septembre de la même année, Colin Crowell, ancien haut responsable de l’entreprise, fait état de la pression d’élus démocrates à ce sujet, évoquant notamment l’insistance du sénateur Mark Warner afin que Twitter redouble d’efforts dans sa lutte contre de présumées actions coordonnées par la Russie sur la plateforme. « Warner a un intérêt politique à maintenir [cette accusation] en tête des actualités », déplore notamment Colin Crowell dans son courriel, redoutant que la pression en question ne gagne en ampleur avec le temps. « Face à l’inquiétude croissante que suscitent ses difficultés en matière de communication, Twitter a créé un "groupe de travail sur la Russie" afin de mener une auto-investigation proactive », note Matt Taibbi, avec à l’appui une capture d’écran d’un e-mail interne daté du 2 octobre 2017. Comme le relève le journaliste américain, les premières recherches de cette task force au sujet de « la perfidie russe » n’auraient pas été fructueuses. Matt Taibbi révèle en effet plusieurs publications relatives aux investigations de ce groupe de travail, qui ne parvient alors pas à prouver l’existence d’une campagne russe coordonnée. Mais le journaliste américain assure que face à une pression grandissante du Congrès, Twitter changera finalement d’avis sur « la petitesse de son problème en Russie ». D’ailleurs, Matt Taibbi évoque ce sujet dans de précédentes salves de révélations, notamment dans celle qu’il a mises en ligne à la mi-décembre. 2020 : « Vous n’avez rien attribué à la Russie depuis un moment » Dans son deuxième article, le journaliste américain fait état d’inquiétudes en interne au regard de l’interventionnisme non-dissimulé de plusieurs structures auprès du réseau social. En témoigne par exemple un e-mail envoyé à certains de ses collègues en mai 2020 dans lequel le haut responsable de Twitter Yoel Roth commente les interactions entre son entreprise et le Global Engagement Center (GEC), émanation de l’administration américaine qui revendique l’objectif de « contrer les efforts de propagande et de désinformation étatiques et non étatiques étrangers ». « Yoel Roth a vu dans la démarche du GEC une volonté d’utiliser les renseignements fournis par d’autres agences pour "s’insérer" dans le club de modération des contenus qui comprend Twitter, Facebook, le FBI, le DHS [Département de la sécurité intérieure des Etats-Unis] et d’autres », note le journaliste américain, capture d’écran à l’appui. Dans un autre e-mail remontant à la même période, Yoel Roth fait remarquer à ses collègues l’insistance de certains organismes au sujet des travaux menés par ses équipes en matière d’ingérence étrangère. Ainsi, le haut responsable de Twitter regrette dans son e-mail que des chercheurs du « Media Forensics Hub » (structure fondée en 2020 avec l’aide financière des autorités de Caroline du Sud) reprochent au réseau social de n’avoir « rien attribué à la Russie depuis un moment ». Une remarque qui, selon Yoel Roth, révèlerait les véritables motivations de la structure en question qui, depuis sa création, s’efforce de démontrer l’existence d’une supposée ingérence russe dans la vie politique américaine. Dans ses dernières révélations comme dans les précédentes, Matt Taibbi met en ligne des échanges internes liés à la suppression de certains comptes après certains signalements de l’administration américaine. Depuis un mois maintenant, la saga des Twitter Files met en lumière les multiples enjeux auxquels Twitter a été confronté ces dernières années. Par exemple, le journaliste Lee Fang a récemment démontré comment le réseau social avait activement participé aux campagnes de l’armée américaine pour « façonner » l’opinion dans différents conflits au Moyen-Orient, dont ceux en Syrie et au Yémen.

[2L’article de RT France pour ceux qui n’ont pu contourner la censure exercée par les services de l’eurotan.
Alors que l’ancienne chancelière allemande et l’ex-président français ont tout deux déclaré que les accords de Minsk avaient permis de donner du temps à Kiev, le vice-président du Sénat russe Konstantin Kossatchev y a vu un aveu de malhonnêteté. Les dernières déclarations de l’ancien président français François Hollande au média anglophone pro-Occident Kyiv Independent le 28 décembre ont suscité la colère à Moscou. Il y confirmait les déclarations de l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel faites plus tôt dans le mois selon lesquelles les accords de Minsk avaient pour objectif principal de donner du temps à l’armée ukrainienne, alors vulnérable sur le terrain. En juin, l’ancien président ukrainien Petro Porochenko avait fait des déclarations similaires. Après Angela Merkel, l’aveu de François Hollande : les accords de Minsk, duperie de l’Occident ? « Le seul co-auteur des accords de Minsk, qui a essayé de manière cohérente et honnête d’agir en tant que garant de ces accords, c’est notre pays », a réagi Konstantin Kossatchev, vice-président du Conseil de la Fédération de la Fédération de Russie sur Telegram. L’Occident mentait sur la paix et se préparait à l’agression. Et aujourd’hui, il n’a pas honte de l’admettre, au grand jour « Les confessions de Merkel et de Hollande sont une preuve de la trahison. Le sud-est de l’Ukraine a d’abord été trahi par l’Occident, malgré les artifices verbaux qui l’entourent », a-t-il encore estimé. Pour lui, la duplicité des deux pays européens et de Kiev a engendré « la perte de milliers de vies au cours des huit dernières années de guerre civile en Ukraine ». Il a encore accusé l’Allemagne et la France d’avoir transformé les accords de Minsk en « bout de papier » ce qui aurait fini par forcer la Russie à intervenir directement avec l’opération militaire spéciale en Ukraine. Vladimir Poutine a lui aussi tenu des propos pouvant faire référence aux déclarations polémiques des ex-dirigeants occidentaux, dans ses vœux du Nouvel An le 31 décembre : « L’Occident a menti sur [ses intentions] pacifiques tout en se préparant à l’agression. Et aujourd’hui, il l’admet ouvertement alors qu’il utilise cyniquement l’Ukraine et son peuple pour affaiblir et diviser la Russie. » Convergence des versions à Kiev, Paris et Berlin Selon Kyiv Independant, l’ancien président français s’est réjoui que les accords de Minsk aient permis à Kiev de se renforcer. « Depuis 2014, l’Ukraine a renforcé ses capacités militaires. En effet, l’armée ukrainienne est complètement différente de celle de 2014. Elle est mieux entraînée et mieux équipée. C’est le mérite des accords de Minsk d’avoir donné à l’armée ukrainienne cette opportunité », a entre autres déclaré François Hollande. Angela Merkel a quant à elle affirmé le 7 décembre que les accords avaient été « une tentative de donner du temps à l’Ukraine ». « Début 2015, Poutine aurait facilement pu les envahir à l’époque. Et je doute fort que les pays de l’OTAN auraient pu faire autant par rapport à ce qu’ils font maintenant pour aider l’Ukraine », a-t-elle encore déclaré. Le président issu de Maïdan Petro Porochenko, battu en 2019 par Volodymyr Zelensky, avait servi en juin une version similaire. « Nous ne croyions pas Poutine, comme nous ne le croyons pas aujourd’hui. Notre tâche était, tout d’abord, d’écarter la menace ou au moins de reporter la guerre [avec la Russie]. De nous assurer huit années pour pouvoir rétablir la croissance économique et renforcer les forces armées. C’était la première tâche, et elle a été accomplie », avait-il déclaré. Notre tâche était, tout d’abord, d’écarter la menace ou au moins de reporter la guerre Le protocole de Minsk est un accord conclu le 5 septembre 2014 par les représentants de l’Ukraine, de la Russie et des Républiques populaires de Donetsk et Lougansk qui avaient fait sécession, ne reconnaissant pas les autorités issues du coup d’Etat de 2014. L’accord visait à mettre fin au conflit dans l’est de l’Ukraine entre Kiev et les Républiques autoproclamées. Il a été suivi d’un autre sommet en février 2015 baptisé Minsk II. Au cours des années précédant le lancement de l’opération spéciale russe en Ukraine, Moscou a régulièrement accusé Kiev de ne pas respecter les termes de cet accord, et la France et l’Allemagne, médiateurs dans ce dossier, de la laisser faireAlors que l’ancienne chancelière allemande et l’ex-président français ont tout deux déclaré que les accords de Minsk avaient permis de donner du temps à Kiev, le vice-président du Sénat russe Konstantin Kossatchev y a vu un aveu de malhonnêteté. Les dernières déclarations de l’ancien président français François Hollande au média anglophone pro-Occident Kyiv Independent le 28 décembre ont suscité la colère à Moscou. Il y confirmait les déclarations de l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel faites plus tôt dans le mois selon lesquelles les accords de Minsk avaient pour objectif principal de donner du temps à l’armée ukrainienne, alors vulnérable sur le terrain. En juin, l’ancien président ukrainien Petro Porochenko avait fait des déclarations similaires. Lire aussi Après Angela Merkel, l’aveu de François Hollande : les accords de Minsk, duperie de l’Occident ? « Le seul co-auteur des accords de Minsk, qui a essayé de manière cohérente et honnête d’agir en tant que garant de ces accords, c’est notre pays », a réagi Konstantin Kossatchev, vice-président du Conseil de la Fédération de la Fédération de Russie sur Telegram. L’Occident mentait sur la paix et se préparait à l’agression. Et aujourd’hui, il n’a pas honte de l’admettre, au grand jour « Les confessions de Merkel et de Hollande sont une preuve de la trahison. Le sud-est de l’Ukraine a d’abord été trahi par l’Occident, malgré les artifices verbaux qui l’entourent », a-t-il encore estimé. Pour lui, la duplicité des deux pays européens et de Kiev a engendré « la perte de milliers de vies au cours des huit dernières années de guerre civile en Ukraine ». Il a encore accusé l’Allemagne et la France d’avoir transformé les accords de Minsk en « bout de papier » ce qui aurait fini par forcer la Russie à intervenir directement avec l’opération militaire spéciale en Ukraine. Vladimir Poutine a lui aussi tenu des propos pouvant faire référence aux déclarations polémiques des ex-dirigeants occidentaux, dans ses vœux du Nouvel An le 31 décembre : « L’Occident a menti sur [ses intentions] pacifiques tout en se préparant à l’agression. Et aujourd’hui, il l’admet ouvertement alors qu’il utilise cyniquement l’Ukraine et son peuple pour affaiblir et diviser la Russie. » Convergence des versions à Kiev, Paris et Berlin Selon Kyiv Independant, l’ancien président français s’est réjoui que les accords de Minsk aient permis à Kiev de se renforcer. « Depuis 2014, l’Ukraine a renforcé ses capacités militaires. En effet, l’armée ukrainienne est complètement différente de celle de 2014. Elle est mieux entraînée et mieux équipée. C’est le mérite des accords de Minsk d’avoir donné à l’armée ukrainienne cette opportunité », a entre autres déclaré François Hollande. Angela Merkel a quant à elle affirmé le 7 décembre que les accords avaient été « une tentative de donner du temps à l’Ukraine ». « Début 2015, Poutine aurait facilement pu les envahir à l’époque. Et je doute fort que les pays de l’OTAN auraient pu faire autant par rapport à ce qu’ils font maintenant pour aider l’Ukraine », a-t-elle encore déclaré. Le président issu de Maïdan Petro Porochenko, battu en 2019 par Volodymyr Zelensky, avait servi en juin une version similaire. « Nous ne croyions pas Poutine, comme nous ne le croyons pas aujourd’hui. Notre tâche était, tout d’abord, d’écarter la menace ou au moins de reporter la guerre [avec la Russie]. De nous assurer huit années pour pouvoir rétablir la croissance économique et renforcer les forces armées. C’était la première tâche, et elle a été accomplie », avait-il déclaré. Notre tâche était, tout d’abord, d’écarter la menace ou au moins de reporter la guerre Le protocole de Minsk est un accord conclu le 5 septembre 2014 par les représentants de l’Ukraine, de la Russie et des Républiques populaires de Donetsk et Lougansk qui avaient fait sécession, ne reconnaissant pas les autorités issues du coup d’Etat de 2014. L’accord visait à mettre fin au conflit dans l’est de l’Ukraine entre Kiev et les Républiques autoproclamées. Il a été suivi d’un autre sommet en février 2015 baptisé Minsk II. Au cours des années précédant le lancement de l’opération spéciale russe en Ukraine, Moscou a régulièrement accusé Kiev de ne pas respecter les termes de cet accord, et la France et l’Allemagne, médiateurs dans ce dossier, de la laisser faire.

[3L’article de RT France pour ceux qui n’ont pu contourner la censure exercée par les services de l’eurotan.
Il ne peut y avoir « aucune nuance » en ce qui concerne la glorification du collaborateur nazi Stepan Bandera en Ukraine, a mis en garde le Premier ministre polonais, alors que le parlement ukrainien vient de célébrer l’anniversaire de sa mort. « Nous sommes extrêmement critiques, très, très négatifs à l’égard de toute glorification ou même de toute évocation de [Stepan] Bandera », a assuré lors d’une conférence de presse organisée le 2 janvier le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki. Lire aussi Marche aux flambeaux à Kiev en hommage au collaborateur nazi Stepan Bandera Une déclaration qui se voulait une réponse à un message diffusé sur Twitter par le Parlement ukrainien, la Rada, qui avait célébré la veille ce qui aurait été le 114e anniversaire de Stepan Bandera, chef de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), un groupe ultranationaliste qui avait pendant la Seconde Guerre mondiale sa propre organisation paramilitaire, l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), et qui a collaboré avec les nazis, participant notamment aux massacres des Polonais en Volhynie. Stepan Bandera a également fondé la Légion ukrainienne, qui a combattu l’armée russe pour le compte de la Wehrmacht. Dans ce message, qui a ensuite été supprimé, le Parlement ukrainien citait les propos suivants de Stepan Bandera : « Le nationalisme ukrainien remportera la victoire finale et ultime lorsque l’empire russe cessera d’exister. » La Rada a ensuite déclaré que le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valery Zaluzhny, avait « bien compris [les] instructions de Stepan Bandera ». Le général lui-même figurait d’ailleurs dans un autre tweet, photographié avec un grand portrait de Stepan Bandera en arrière-plan.

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