Navalny : un cui bono ?
lundi 19 février 2024 par SHAHSHAHANI Volodia
La pègre politico-médiatique occidentale pense avoir trouvé une nouvelle diversion pour sa complicité avec le génocide à Gaza : on peut ce jour voir en direct (Al Jazeera) des tirs des SS sur les Gazaouis qui vont en masse chercher les trop rares ressources alimentaires qui leur sont livrées. Alors donc la diversion se nomme Navalny condamné en Russie pour escroquerie mais décrit en occident comme un "opposant" politique au président Poutine qui serait donc responsable de sa mort en prison.
La question basique que tout un chacun peut se poser dans ce genre de situation est le "cui bono", autrement dit "à qui profite" le (supposé) crime ? On peut très bien ne pas approuver nombre d’aspects de la politique russe mais de là à traiter son président d’imbécile ? L’affaire se passe au moment où l’interview de Poutine avec Tucker Carlson cartonne (100 millions de vues selon certains), où l’armée russe débarrasse Avdiivka de ses occupants ukro-nazis et où comme par hasard se tient la conférence de l’Otan à Munich avec, encore un bonus, la présence de l’épouse Navalny à cette rencontre guerrière. Too much pour ne pas soulever quelques questions.
Sans se prononcer sur la culpabilité de Navalny ni sur les circonstances de sa mort, on ne peut que citer les avis de spécialistes ayant régulièrement suivi les manipulations britanniques antérieures concernant des "empoisonnements" de citoyens russes au Royaume Uni.
1 "La dernière farce de Navalny" par le général Dominique Delawarde.