Climato-Sionisme chez les Brics : 1-0
samedi 2 décembre 2023 par SHAHSHAHANI Volodia
Les bombardements génocidaires de l’état sioniste accompagnent à peu de distance et dans le même temps la 28ème messe climatique où 80 000 politiciens/chercheurs/écologistes, avec les milliardaires qui les formatent, se sont donné rendez-vous sans se poser la question de leurs "émissions". Les seules qui seront "condamnables" sont celles que la majorité mondiale entend utiliser pour sortir du sous-développement à des coûts supportables et là ce sera à nouveau un échec cinglant.
Sur le climatisme, la majorité mondiale est stable depuis au moins la Cop 26 de Glasgow confirmée en 2022 avec le partage du monde sur le conflit Otan-Russie via l’Ukraine.
La religion climatique est donc réservée aux zones où l’abrutissement s’impose le plus facilement à coups de censures, persécutions, licenciements et bien entendu mensonges et volonté génocidaire assumés.
Cette franchise des climateux est à rapprocher de celle de leurs compères sionistes dont le meurtre de masse est la religion revendiquée.
C’est ici que le front dit "sud global", brics &cie, se brise ou du moins peine à assumer ses responsabilités. Passe encore au niveau verbal où le soutien est presque unanime en faveur de la résistance palestinienne à l’exception de l’Inde du fanatique hindou Modi, qui, par haine des musulmans, s’est déclaré solidaire de l’apartheid pratiqué par ses semblables judéo-sionistes. Mais en pratique l’Occident et son excrément colonial sont encore aux commandes pour le génocide du peuple palestinien.
Dans le même temps sur un autre continent, l’unité des "BRICS+" risque de passer un mauvais quart d’heure avec l’arrivée au pouvoir en Argentine d’un Milei qui entend remplacer la monnaie nationale par le dollar…Mais la pièce maîtresse du sud Global, la Chine, joue la carte économique sur le long terme et ne s’embarrasse pas d’associer les contraires, comme le rabibochage Iran-Arabie.
Pour ceux qui ont encore quelques difficultés à sortir de la religion du co2, Christian Gérondeau, l’un des chercheurs les plus pédagogiques sur le sujet s’est livré à un nouvel exercice, celui d’emprunter le discours et les propres données du Giec pour conclure à l’inutilité de la décarbonation.