Avec le retour à la tête de l’assemblée nationale de la judéo-sioniste Braun-Pivet, la tambouille a permis "au centre" de se reconstruire grâce à sa "droite" ripoublicaine en devançant d’une courte tête le candidat du parti dit "communiste" Chassaigne, choisi pour représenter un autre bric-à-brac nommé NFP (nouveau front populaire). Après LR, ce centre grand bourgeois devrait pouvoir s’étendre aux autres partis à direction sioniste (PS, EELV) lors des prochaines échéances - pas seulement électorales.

Les oppositions deviendraient alors plus claires : à "gauche" une FI , à "droite" un RN.
En espérant qu’avec l’aggravation de la situation internationale (et conséquemment locale) la première abandonnera son climatisme et plus généralement son sociétalisme petit-bourgeois, le second son racisme petit-blanc rénové par le sionisme. Ainsi épurés, ils pourraient se mettre d’accord pour la seule cause qui vaille, la lutte pour l’indépendance du pays ce qui suppose évidemment la sortie de l’eurotan : convaincre les "fachés pas fachos" pour reprendre l’expression de Mélenchon. On peut rêver…

En attendant aucun de ces partis n’a engagé de véritable mobilisation contre la présence de SS déguisés en sportifs qui défileraient dans une semaine sous le drapeau étoilé au nom duquel s’intensifie le premier génocide en direct sous les yeux du monde entier.

Sans objection pour l’ignominie olympique qui s’annonce, on trouve aussi un candidat de la catégorie courtisée des "islamo-sionistes" (imam Chalgoumy, guignole Aram…), cette fois le recteur de la mosquée de Paris.