Dimanche 9 mai, pendant que l’excrément d’occident assassine massivement les Palestiniens sur leur sol, de jeunes bourgeois urbains se mobilisent "pour le climat".

On se souvient que ces "écologistes" étaient déjà venus au secours (si ce n’est directement à l’appel) du régime ploutocratique qui occupe la France afin de faire diversion certains samedis aux mobilisations des Gilets Jaunes, une représentation de la France pauvre avec le mot d’ordre "les fins de mois, pas la fin du monde".

Puis, une violente répression policière a pris le relais de la bobocologie en mettant fin (provisoirement espère-t-on) à la protestation populaire. On trouvera la genèse de cette imposture dans la série en six épisodes intitulée "Le climato-sionisme à l’heure des Gilets Jaunes. Et pour ceux qui ont encore des doutes sur l’imposture climatique, il suffit de cliquer sur le mot-clé "climat"

L’écologisme politique (qui n’a aucun rapport avec une réelle défense de l’environnement) est une religion de substitution à celles tombées en désuétude et qui structuraient jusque-là le champ idéologique tels que christianisme, "communisme" et assimilés.

Face à l’offensive neo-libérale de l’Ecole de Chicago (qui commença dans la terreur avec le coup d’état chilien en 1973), la ploutocratie a offert deux choix "contestataires" principaux aux générations lobotomisées (celles qui ont eu 20 ans depuis 1980) :
– identitarisme "petit blanc", c’est le Front (devenu Rassemblement) National avec divers débris de la droite traditionnelle.
– écologisme, où se sont recasés des 68tards en quête de privilèges.

Tous ont fait allégeance à l’empire d’occident et à ses deux capitales, Washington et Tel-Aviv. On comprend ainsi comment une entreprise aussi clairement génocidaire que l’occupation sioniste ne soulève que peu de réactions contrairement à ce qui s’était produit avec les générations précédentes qui surent se mobiliser massivement à l’échelle mondiale, notamment contre la guerre du Vietnam, contribuant ainsi à la défaite de l’empire.

Pour mieux apprécier la soumission des bobocologies allemande (Grünen) et française (EELV), lire cet article de celle qui fut une porte-parole de la première, Diana Johnstone