Le gang Sarkozy, toujours impuni
mercredi 29 juillet 2020 par SHAHSHAHANI Volodia
L’ancien président Sarkozy, toujours en liberté, s’est vu flagorner par les merdia du régime à l’occasion de la sortie d’un livre. Il avait été le chef d’un gang français, lors de la destruction de la Libye et de l’assassinat de son dirigeant, le colonel Kadhafi en 2011.
Les autres gangsters n’ont pas non plus été inquiétés. Outre le président de la ripoublique française, le gang criminel se composait du premier ministre Fillon, du ministre des affaires étrangères Juppé et de celui de la guerre, l’ex nazillon Longuet. Le gang a violé la résolution 1973 du conseil de sécurité des Nations Unies qui prévoyait une zone d’exclusion aérienne afin de soutenir l’action des djihadistes et monarchistes opposés au régime mais pas un renversement de régime. Avec une grande naïveté la Russie et la Chine ne s’étaient pas opposées à cette résolution (se réfugiant dans l’abstention) comme si la parole occidentale était digne de foi !
L’implication du gang français semble liée à un facteur de caractère personnel pour son chef Sarkozy (bénéficiaire présumé d’une aide financière de la part du dictateur libyen pour sa campagne présidentielle de 2012). Plus fondamentalement, la coalition occidentale, était inquiète de la politique africaine de Kadhafi et de sa volonté de s’affranchir du dollar comme du franc CFA. Neuf ans plus tard, inutile de faire un dessin : retour de l’esclavage et de la pauvreté, rivalités neo-coloniales entre petites puissances de l’Otan : France, Italie, Turquie…
Après le gang ripoublicain, toujours non poursuivi, un nouveau gang français, s’est entiché de détruire la RAS (république arabe syrienne) et de lui voler son pétrole en s’associant à l’Arabie Saoudite pour recruter, financer, armer des groupes takfiristes. Le gang issu de la déchetterie socialiste comprenait aussi :
– un président de la ripoublique, Hollande
– un PM, Ayrault puis Valls
– un MAE, Fabius
– un ministre de la guerre : Le Drian
Une frénésie, rappelant les pires heures de la France coloniale, s’était emparée de toute la classe politico-médiatique, le journal Le Monde publiant ni plus ni moins un appel à la guerre. On sait que le roquet français est revenu la queue basse après le refus d’Obama et l’absence de preuve d’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien.