Les mobilisations contre la dictature sanitaire ont été semble-t-il partout en France en forte hausse, avec toujours des chiffres communiqués à sens unique par les représentants du régime.

A Grenoble, j’avais estimé le défilé du 24/07 à 2500 manifestants, en fait à mi-chemin entre les données de la préfecture et des organisateurs (respectivement 2000 et 3000).

Ce 31/07 la manifestation était très nettement supérieure en nombre, au moins 50% de plus soit pas moins de 3500 personnes. Un calcul relativement facile à faire sur les larges avenues ou boulevards (Jaurès-Foch) occupés dans toute la largeur des deux voies et des deux trottoirs par une foule dense et homogène, sans espaces entre les lignes.

Curieusement la préfecture 38 a donné la même valeur que la semaine précédente (donc 2000), ce qui relève d’un calcul politique et non arithmétique. [1]

Cette fois il y a donc eu des consignes de rabais, au demeurant en contradiction avec les instituts qui (quoiqu’on en pense) ont fait monter dans leurs sondages l’adhésion de 35 à 40% en une semaine.

Sans même prendre la peine de se déplacer, l’organe régional de la presstitution (celui qui est financé par nos impôts) s’est empressé de répercuter la valeur officielle

Il est vrai qu’à Grenoble on est bien servi. Au CHUG (d’où provient Véran) il y aussi une sorte de Delfraissy local qui a insulté les manifestants anti-pass, un certain Stahl.

Le même s’était déjà signalé en 2020 dans la cabale anti-Raoult. Le professeur marseillais l’a d’ailleurs poursuivi en justice, aux côtés de quelques autres mandarins

La manifestation était aussi chaleureuse que la précédente avec des pancartes et des slogans faits maison et pour ainsi dire pas de tentative de récupération politicienne, si l’on excepte trois drapeaux d’un groupuscule climato-crédule (NPA).