Judéo-nazisme est la formule adoptée par les résistants israéliens, d’autant plus admirables qu’ils sont rares : selon les dires de journalistes de Haaretz, ils ne seraient pas plus de 20% de la population dite "juive". Un bon exemple récent nous a été donné par une enquête auprès des refuzniks, ceux qui refusent de servir dans l’armée d’occupation. Le reportage mérite d’être salué car il émane de FranceTV, généralement aux ordres du système sioniste qui occupe la France.

On en a eu une confirmation écœurante le 7 février pour cette chaîne comme toutes les autres sources de désinformation de l’hexagone à l’occasion de la cérémonie des Invalides en l’honneur de colons dits "franco-israéliens". On a entendu le "young global leader" installé par l’internationale USioniste délirer sur le "plus grand crime antisémite du siècle" pour traiter de l’action hors-ghetto de la résistance palestinienne le 7 octobre. La vérité a pourtant été étayée de façon indiscutable par exemple ici.

Négationnisme

Le négationniste est celui qui tente de camoufler le premier génocide du 21ème siècle suivi en direct par des chaînes d’information étrangères (notamment Al Jazeera) que tout le monde peut consulter. L’horreur, que le banquier-président tente de masquer en relayant la propagande mensongère de l’occupant de la Palestine, a marqué une nouvelle étape. Après avoir demandé aux populations du nord de Gaza de déménager au sud, soit-disant des lieux sûrs, les SS (soldats sionistes) en ont profité pour accentuer le carnage en détruisant tous les abris (hôpitaux, écoles, même les tentes…) de Khan Younis et maintenant de Rafah, la concentration la plus au sud. Là, les judéo-nazis empêchent les - trop rares -camions d’assistance d’entrer. Il n’est pas illégitime de se demander si parmi ces assassins ne se trouvent pas aussi de ces colons "franco-israéliens".

Et il faudrait les honorer plutôt que les condamner comme déjà rapporté ici ?
Au moins en Afrique du Sud, les criminels qui sont allés soutenir le génocide seront poursuivis à leur retour.

Censure et répression

Les associations sionistes ne représentent pas des Français dits "juifs" mais une nouvelle variante du "petit-blanc" identitaire, fusionnant avec leurs prédécesseurs, les archéo-fascistes dont la présence a été saluée dans toutes les manifestations organisées par le

régime favorables à l’apartheid : le 8 octobre, le 12 novembre, le 21 et bien sûr l’obscène "hommage" du 7 février aux Invalides. C’est le nouvel "arc républicain", Habib-Bardella via Macron.

La censure n’a plus de limites comme on l’a déjà vu avec la punition infligée par la Pécresse à Zineb El Rhazoui.. On continue dans le domaine sportif avec la poursuite ce 8 février de la championne Emilie Gomis.

Encore une femme attaquée cette fois par le saltimbanque judéo-sioniste, Arthur : une juriste franco-palestinienne, coupable d’avoir été sélectionnée comme une des femmes de l’année dans le magazine Forbes, Rima Hassan.. Ne pas hésiter à consulter ce genre de torchon en dépit du dégoût ressenti.
Si le magazine s’est plié à l’oukaze sioniste en annulant la cérémonie prévue en mars, la victime n’entend pas en rester là et a décidé d’engager des poursuites contre le saltimbanque.

Les délateurs sionistes ne s’intéressent pas qu’aux femmes. Parmi les innombrables victimes de cette engeance on peut aussi relever ce "signalement" au Conseil de l’Ordre des Médecins (créé sous le régime de Vichy) d’un radiologue, Rami Selmi, exerçant en France depuis 2006 mais qui a le tort d’être originaire de Gaza.

Infection grenobloise

A Grenoble, le nombre de "signalements" est inversement proportionnel à la représentation du groupuscule Crif 38, dont on a déjà pu mesurer l’hostilité à la liberté d’expression avec foirade à l’arrivée. Précédemment l’officine présidée par l’agent sioniste Gerbi avait réussi contre un meeting du NPA.

On ignore en revanche si cette antenne sioniste a pu jouer un rôle dans l’acharnement contre le maire-adjoint d’Echirolles, Mohamed Makni, poursuivi par le procureur local, Vaillant, et devant se présenter pour la troisième fois devant la justice le 20 février 2024 pour avoir simplement comme tant d’autres refusé de qualifier de "terroriste" la résistance palestinienne.

L’intéressé avait aussitôt été lâché par ses soutiens : exclu du parti socialiste auquel il appartenait, on se demande pourquoi quand on en connaît la ligne 100% sioniste des Valls, Cazeneuve, Guedj sans parler de l’indécrottable Hollande. Mohamed Makni a aussi été lâché par sa propre municipalité dite "communiste" qui l’a destitué de son poste d’adjoint. pas vraiment surprenant d’un parti présidé par un Roussel qui s’est rendu à toutes les manifestations sionistes et s’annonce même candidat au dîner du Crif !

S’il n’y a rien à récupérer au sein du PS, il en va sans doute autrement au sein du pcf comme en témoignent anonymement certains anciens responsables.

En attendant Mohamed Makni ne capitule pas et un mouvement de solidarité s’organise sur Grenoble en sa faveur.