L’alarmisme climatique s’est à nouveau emballé à l’occasion de quelques incendies accompagnés de la chaleur estivale et avec le énième rapport (AR6) de l’organisation internationale nommée IPCC/GIEC ("Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat") dont la fonction politicienne est sans équivoque : il ne s’agit pas d’étudier le climat mais l’influence humaine sur celui-ci. Autant dire que si on n’en trouvait pas ce serait hara-Kiri et adieu aux milliers de milliards de dollars qui entretiennent ces "chercheurs".

A la page 7 du document AR6 de l’IPCC/GIEC en pièce jointe on trouve ce graphique

Un cop-col assez proche de la courbe frauduleuse de Michael Mann, endossée par le GIEC après l’échange du climate-gate où Phil Jones de l’Université d’East Anglia affirmait que pour les besoins de la cause "il fallait effacer l’optimum climatique médiéval". L’OCM a été au moins aussi chaud que l’OCC (optimum climatique contemporain) avec la disparition de glaciers alpins encore bien fournis aujourd’hui. Sans parler de l’OCR (optimum climatique romain) et des éléphants d’Hannibal traversant les Alpes. Devant le scandale, le GIEC avait dû retirer la Hockey-stick, mais périodiquement elle refait surface

Et la revoici encore dans le rapport de l’AR6 avec un premier décryptage en anglais