Le sionisme est, avec le climatisme, l’idéologie dominante du régime français - mais pas des Français. Il sert à discréditer ces derniers à n’importe quel propos, par exemple quand des Gilets Jaunes manifestent pour leur niveau de vie, impacté entre autres par l’idéologie du réchauffement, comme la "guerre" déclarée par Macron lors du Covid, qui permit aussi de réprimer le mouvement social précité par l’emprisonnement à domicile.

L’appel à la manifestation du dimanche 12 novembre est l’expression - caricaturale - de la perversion occidentale : l’inversion accusatoire. Elle a été appelée par la présidente de l’Assemblée Nationale, la judéo-sioniste Braun-Pivet qui est allée à Tel Aviv approuver les massacres commis par l’armée israélienne et le président du Sénat, Larcher, qui a trouvé une occasion de justifier sa planque et, faute de déclaration contraire, de se faire complice des sénateurs-censeurs visés ici. Le tout avec la complicité de Macron et Borne.

L’objectif est de faire taire la solidarité qui s’est exprimée massivement contre le programme génocidaire à Gaza en ressortant du chapeau la chimère "anti-sémite" inventée par l’Occident pour faire avaler l’idée qu’il n’y aurait qu’un crime contre l’humanité digne d’être combattu, le judéocide européen des années 1940, utilisé en la circonstance pour en commettre un autre, celui du peuple palestinien entamé depuis 75 ans. Ce faisant l’Allemagne écolo-sioniste, au lieu de se repentir du premier génocide (contre les Juifs) en commet un second contre les Palestiniens.

En France, l’utilisation de la dite "communauté juive" consiste à en placer des membres (complices, corrompus, arrivistes) à des postes de pouvoir, notamment médiatique, dans des proportions exorbitantes aux côtés de goy tout aussi sionistes et avec les mêmes "qualités". La vérification est facile sur un plateau unanimement sioniste, par exemple un lci/Pujadas, où il est fréquent d’avoir 2 (ou 3) français "juifs" sur 4 (ou 6) participants, soit un ratio de 50% pour une portion de population estimée à moins de 1%, et encore en s’appropriant ceux qui ne reconnaissent même pas leur "judéïté", seulement définie par leur ascendance maternelle.

Utiliser un ex-opprimé ou dissident (classe, nation, peuple…) pour en opprimer un nouveau a toujours été le b.a.-ba du colonialisme occidental, exemple : les communards survivants envoyés en Algérie et qui avec le temps deviendront les Pieds-Noirs avec des droits supérieurs à ceux du peuple opprimé local. Alors qu’au 20ème siècle ce système a été dénoncé et finalement détruit (au moins juridiquement), un contre-exemple tente encore de survivre : la colonisation sioniste de la Palestine jugée déjà en 2006 par l’ex-président US Jimmy Carter "pire que l’apartheid d’Afrique du sud". Cette assimilation d’Israel au colonialisme à la conférence de Durban avait été refusée le 9 septembre 2001 par les occidentaux dont le PM français Jospin.

Manif de l’etat franco-sioniste le 12/11

La manifestation verra la participation de tous les partis représentés à l’assemblée et au sénat - du RN aux PCF/EELV (déjà présents à la manifestation du crif le 9 octobre) - à l’exception de la France Insoumise…dont une partie de cette dernière s’était décrédibilisée en qualifiant la résistance palestinienne de "terroriste" (Ruffin, Corbières, Garrido…) et qu’il ne sera pas surprenant de voir défiler aux côtés des partis sionistes : bon débarras pour la LFI ? Hum, la veille de cette manifestation à l’objet plus que discutable une représentante de ce parti (Aubry) annonce que LFI va organiser ses propres démonstrations contre l’ " anti-sémitisme". Beurk !

Initialement les partis de gauche (PS-PCF-EELV) avaient hésité à s’engager dans cette mascarade négationniste au prétexte que le RN a aussi annoncé sa participation. Prétexte ridicule. C’est le contenu de cette manifestation qu’il faut dénoncer. Tous ceux qui y participeront, juifs ou non, décideront de se ranger sur la liste des collaborateurs de l’apartheid au prétexte de quelques bricoles, au demeurant démenties alors que l’unique urgence est de sauver des innocents (pour moitié des enfants) massacrés par un état terroriste, "Israel" !

C’est un challenge en particulier pour les Français qui se disent "Juifs" ou peuvent être considérés comme tels. Pas de problème pour les personnalités politico-médiatiques comme les adhérents de diverses associations liées à Israel (Crif, Uejf , Licra, Bncva, Ldj etc.) : leur position de collaborateurs de l’état judéo-nazi est claire et nette.
Pas de problème non plus pour ceux qui ont choisi de s’exprimer publiquement à titre collectif (par exemple en adhérent à l’UJFP, Union Juive Française pour la Paix) ou individuellement pour l’élimination de l’état d’Apartheid. Entre les deux la prétendue position intermédiaire des "silencieux" n’en est pas une. Ne pas dénoncer le génocide commencé à Gaza mais aussi en Cisjordanie c’est en être complice avec toutes les conséquences qui pourront en découler à l’avenir, au même titre que pour les collabos affirmés, juifs ou non. Pour les "Juifs" au nom desquels le crime est commis il n’y a que deux options, pas trois. Exemple de ces faux-nez.

Alors qu’aux Etats-Unis et en Angleterre des manifestations massives de Juifs contre Israel disent "Not in my name" la quantité de Français Juifs anti-sionistes est beaucoup trop faible.