Le 14 août, les manifestations se sont multipliées des grandes villes jusque dans les villages. On peut faire abstraction, sauf rares exceptions locales, des nombres avancés par le régime et repris sans vergogne par la presstitution nationale ou locale, publique ou privée.

Un décompte est donné, localité par localité, par le "Nombre Jaune" qui précise aussi ses sources. Si j’en juge par le seul cas que j’ai pu observer, celui de Grenoble, leur valeur (2500, provisoire, le définitif sera connu dimanche) était même en-dessous de la réalité, alors qu’il y avait autant de monde sous la canicule du 14 que sous les trombes d’eau du 7/08 (un peu plus de 3000), au demeurant faciles à estimer puisque la manifestation a emprunté, entre les larges avenues, des rues plus étroites.

C’est toujours en retrait par rapport à des villes comparables, voire plus petites, y compris les voisines (Chambéry, Annecy). Pour apprécier la puissance de la révolte il suffit de regarder les images ici

Comme pour les manifestations des Gilets Jaunes, avec la provocation du militant raciste Finkelkraut, le régime n’a plus à sa disposition que son slogan fétiche l’"antisémitisme"]. Il l’a sorti notamment à l’occasion d’une pancarte brandie par une manifestante dénonçant une partie de la pègre systémique

Un peu maladroitement, puisqu’il y avait une majorité de judéo-sionistes aux côtés de l’affairiste sorti de la banque Rothschild (Macron). Un meilleur panachage lui aurait peut-être épargné les poursuites engagées contre elle. ll aurait suffi pour cela d’y ajouter quelques couples de goy-sionistes, par exemple du Pécresse-Bertrand, ou encore de l’Hidalgo-Piolle et le tour était joué. Mais on ne peut demander une telle clairvoyance à une identitaire sortie du RN où elle avait un temps fait ses classes. Il en restera la bonne nouvelle, l’effondrement progressif du parti sioniste de Marine Le Pen, conçu pour incarner l’opposition. Il ne devrait pas manquer de candidats, à gauche comme à droite, pour le prochain jeu de rôles.