Apparemment en recherche de reconnaissance le parti prétendument insoumis de Mélenchon donne des gages (au crif et aux media que ce dernier contrôle) en s’opposant à une représentation de l’humoriste Dieudonné à Nantes

Ceci intervient après la calamiteuse campagne des européennes où la tête de liste avait réussi à diviser par trois le score présidentiel du patron. Comment ? En ânnonant sans retenue le baratin à la mode ("transition énergétique" , "climat" ") à toutes les sauces au point que son discours avait en cours de campagne inversé la hiérarchie initiale (1 social 2 écologie). Et personne de son équipe n’a seulement tenté de corriger cette déviation.

Logiquement, les auditeurs de Manon Aubry ont préféré les originaux à la copie, à savoir Macron (LREM) et son appendice Jadot (EELV). Quant aux Gilets Jaunes, méprisés (plus rarement dragués) ils ont bien compris qui n’étaient pas leurs amis en ne se déplaçant généralement pas pour voter en faveur de ceux qui avaient épousé les deux contre-feux idéologiques dressés contre leurs revendications de mieux-vivre : climatisme et sionisme.

Une petit nombre semble s’être déplacé en faveur du Rassemblement National qui apparaît comme l’alternative au pouvoir en place - faussement car il est justement la solution sioniste de rechange pour l’état profond.

La pseudo "LFI" est donc parfaitement compatible avec les autres débris de la gauche bourgeoise. Les Gilets Jaunes n’ont rien à en attendre pour leur "Septembre Noir".