– D’accord avec David. Quand ça craint un peu je préfère faire la voie des Cottaves en traversée en montant par les bergeries avec retour en stop.
– Il y a une autre vacherie plus haut. La combe de sortie, pourtant peu raide se charge souvent. C’est vrai pour aller directement au sommet, mais aussi à l’antecime. Une fois, avec une collective, j’avais identifié le danger, mis mon petit monde à l’abri (ils en ont quand même pris un peu au niveau des pieds) et déclenché une bonne plaque juste sous l’arête sud, donc un peu en aval de l’antecime.
– Pendant qu’on y est, j’en profite pour rappeler qu’une plaque part aussi du talus qui domine la route (entre l’oratoire et les bergeries) et qu’elle est parfois assez grosse.
– Pour toutes ces raisons la course n’a pas été cotée en 1 alors qu’elle ne dépasse pas les 800 m de D+. Mais sur le plan technique, à cause de la pente de la clairière notamment, elle mérite plus que le 2.1 du toponeige, comme l’avait remarqué DBL. Nous nous étions arrêtés à 2.3.