Par Lionel Tassan (LTA) : "Volo fut un des pionniers du ski extrême dans les années 70. Journaliste de profession, il a largement fait connaître le ski notamment grâce à ses ouvrages. D’abord ski-alpinisme en 1984 puis maintenant la collection Toponeige devenue la référence en la matière et dont il est auteur et créateur. C’est d’ailleurs un plaisir de travailler avec lui car il est à la fois, rigoureux, innovateur et déconneur. Il continue à arpenter la montagne skis aux pieds même s’il n’a plus la même patate en montée. Cela ne l’empêche en rien de garder tout son sang-froid comme en témoigne son efficacité lors de l’avalanche de l’Eau-d’Olle en octobre 2003".
Alors qu’au 163ème jour du génocide, la soldatesque sioniste envahit l’hôpital Al Shifa où se sont réfugiés des milliers de Palestiniens, il n’est pas inutile de débusquer chez nous les collabos déguisés. Contre les organisations qui soutiennent le peuple palestinien regroupés en "Urgence Palestine" un groupe de pression sioniste a tenté le 24/02/2024 une misérable opération de dénigrement sur Mediapart, où ce genre de prose coexiste régulièrement avec d’autres tribunes moins nauséabondes. (...)
Pour commencer rappelons que le génocide en cours à Gaza s’intensifie avec la destruction volontaire de maisons individuelles après celles des hôpitaux, lieux de culte, universités, écoles…et une nouvelle variante de torture du fait de l’interdiction par l’occupant des anti-douleurs. Du reste l’état (US) qui soutient le génocide est parfaitement clair : pour les crimes israéliens "pas de ligne rouge". Une tentaitive grotesque de placer sur le devant de la scène les numéros 2 de (...)
La scène s’est produite vendredi 8 mars à Paris au cours d’une manifestation féminine dénonçant les massacres commis par les SS (soldats sionistes) à Gaza et portant des drapeaux palestiniens en signe de solidarité. Les agresseurs appartiennent à la LDJ "ligue de défense juive" pourtant interdite aussi bien aux USA qu’en "Israel" mais toujours pas en France. Récemment ils ont été camouflés dans des organisations nommés SCPJ, Collectif Nous Vivrons, ou encore des variantes de gauche du (...)