En voici quelques unes.

La firme Apple vient de céder aux jérémiades de l’officine de propagande pro-Israel nommée UEJF (Union des Etudiants Juifs de France) en suspendant sur l’App Store l’appli de l’association Egalité et Réconciliation

France Culture, le 18 septembre, a effacé un tweet rendant compte du séjour en France de la militante palestinienne Ahed Tamimi sur injonction de la réprésentante en France du "Comité Juif Américain", une certaine Simone Rodan-Benzaquen. Détails sur l’excellent site de résistance, Panamza que j’invite le lecteur à soutenir par un abonnement.

Rien de neuf dira-t-on avec raison. Il existait une émission non sioniste sur le service dit public jusqu’en 2014. Même l’ultra-sioniste Philippe Val, rédacteur de la fameuse pétition d’avril 2018 nommé directeur de France Inter sous Sarkozy n’avait pas pu (ou osé ?) liquider l’émission "Là-bas si j’y suis" de Daniel Mermet. Cela sera chose faite dès l’arrivée de la nouvelle directrice, Laurence Bloch.

L’état Juif, affolé par les succès de BDS, fait flèche de tout bois dans les pays occidentaux où il pensait sa cause acquise dans l’opinion. Ne pas manquer le numéro de septembre (qui sera bientôt remplacé par celui d’octobre) du "Monde Diplomatique" dans lequel Alain Gresh livre le menu d’une enquête secrète au sein des officines judeo-sionistes et christo-sionistes aux Etats-Unis.

Quant au Royaume Uni, il apparaît nettement que Israel est à la manœuvre dans la tentative de déstabilisation de Jeremy Corbyn qui fait figure d’épouvantail tant sur le plan intérieur (les privilégiés craignant pour leurs avoirs) qu’extérieur (solidarité avec la Palestine). La clique de Tony Blair a remué le ban et l’arrière ban des organisations judeo-sionistes locales pour éviter l’accession au pouvoir du leader du Labour Party. On ne sera pas surpris de voir cette campagne de calomnies ("antisémitisme") reprise dans le tabloid bobo israélo-français "Libération"