Sionisme et génocide : les complices ont un nom
jeudi 21 novembre 2024 par SHAHSHAHANI Volodia
Amsterdam et ses mensonges sionistes auront donc eu une suite lamentable au Stade de France :
– 16000 spectateurs pour un stade de 80000 places
– 4000 policiers plus des agents du Mossad soit un ratio 1 pour 4
– des sifflets pendant l’hymne sioniste qui ont obligé à monter le son
– en dépit des fouilles à l’entrée un drapeau palestinien déployé
Le tout en présence du Sarholmac - Sarkozy, Hollande, Macron - qui depuis 2007 ont transformé le pays en paillasson. D’autres collabos étaient aussi présents, de "gauche" (Valls, Guedj) ou "droite" (Pécresse, Bertrand).
Dans le même temps la maire d’Amsterdam s’est excusée pour avoir été trompée par la propagande sioniste.
Voir aussi le naufrage médiatique dans "Arret sur Images"
Ce qui n’empêche pas les agents locaux de s’exprimer chez l’ennemi (le Crif) qui choisit le RN contre LFI. Echantillon socialiste.
– Cambadelis
– Cazeneuve
– Valls
– Auquel on peut ajouter une Bergé un équivalent.fr de la Baerbock allemande.
Le crif utilise ses appendices (UEJF, LDJ, Nous Vivrons…dans les universités) pour annoncer qu’ils provoqueront des incidents que les préfets aux ordres prendront à la lettre en interdisant des conférences en faveur de la Palestine. Ce devait être encore le cas ce 20 novembre contre Salah Hamouri à la suite de l’intervention de la préfecture du Rhône. Idem pour Rima Hassan, doublement censurée pour ses interventions prévues à l’IEP de Paris le 22/11 et une autre à l’IEP de Strasbourg le 28/11 toujours pour "risque de trouble à l’ordre public", antienne reprise cette fois par les présidents d’Universités, respectivement Louis Vassy et Michel Deneken.
L’important n’est pas de dénoncer une fois de plus ces collabos bien connus mais d’archiver leurs déclarations pour le jour où ils tenteront de se défausser. Pour l’heure ils jouent à fond la carte explicitement génocidaire de Netanyahou en espérant qu’il finisse le boulot en Palestine et au Liban. Puis il sera vilipendé et on jouera alors la carte du prétendu "sionisme libéral" et, quand celui-ci s’avèrera une imposture, les collabos tenteront de se refaire une virginité. D’où la nécessité, dans chaque pays, de nommer les coupables et pas seulement les fonctions qu’ils exercent. (Quelques pdf à archiver)
Liban
Outre leur complicité avec le génocide à Gaza, les dirigeants français ne sont pas exempts de reproches à commencer par l’interminable incarcération (40 ans) du militant communiste libanais Georges Ibrahim Abdallah, la plus longue pour un prisonnier politique en Europe. En 2013, le tribunal d’application des peines de Paris avait accepté sa libération. Le Liban était disposé à l’accueillir. Toutefois, Manuel Valls, alors ministre de l’intérieur, avait refusé de délivrer l’arrêté d’expulsion. Une décision purement politique. Le 15 novembre le tribunal a à nouveau annoncé sa libération mais il faudra attendre l’appel du parquet anti-terroriste.
Sur place "l’armée israélienne est en train de reproduire au Liban, un modèle d’agression déjà expérimenté à Gaza. Les établissements de santé et le personnel médical sont devenus des cibles de choix. À la date du 15 novembre, Israël avait déjà tué au moins 208 travailleurs du secteur de la santé et blessé 311 autres, selon les informations du ministère libanais de la Santé publique. Le ministère a également enregistré au moins 286 attaques israéliennes contre des services de santé, dont 66 attaques contre des hôpitaux et 220 contre des services médicaux d’urgence." Ce n’est qu’un aperçu de l’acharnement contre le système de santé décrit ici
On évoque aussi des "négociations" surréalistes. Le comble est que les USA ont envoyé pour ce faire un certain Amos Hochstein, ancien SS (soldat sioniste) pour "arbitrer" entre le Liban et Israel. Il ne fait que compléter un autre judéo-sioniste, Anthony Blinken, qui depuis un an et 11 voyages fait semblant d’être un intermédiaire pour un cessez-le feu dont son maître (Israel) ne veut pas.
La France est complice de la tentative de dissoudre le Liban en tentant de transformer la résolution 1701 de l’onu qui prévoit que sur la ligne de démarcation définie en 2006 entre ce pays et la Palestine occupée ne pourraient être présentes que la FINUL et l’armée libanaise. La première a eu des blessés et la seconde des tués. Le plus comique si on ose dire est la réaction du gouvernement israélien : "de toutes façons, même si un accord est signé nous continuerons à faire la guerre au Hezbollah" (ndr. la principale force de défense du Liban)
De retour du Liban, un reportage de Craig Murray qui ne ménage pas le nommé Hochstein