28 février 2006 talleux sandrine - armet rouge

en montant à barbabon,j’ai souvent regardé ces jolies faces,mais j’avais du mal à imaginer qu’elles pouvaient se faire à ski !bravo à vous pour cette "jolie ligne", une qui ne restera plus classé"NC"

28 février 2006 LTA - Lignes...

En ligne sur mon site des images complémentaires de deux lignes majeures : les Ombres (course 26) et la Ligne (course 27).

28 février 2006 MBO - l’Armet Rouge

Bravo pour cette percée à travers les lignes de l’Armet Rouge ! Ce massif ne semble décidemment pas épuisé de descentes majeures ! Il y avait-il vraiment quelque caillou de couleur rouge ou le nom était lui aussi muri de longue date ? En tout cas, voilà qui confirme la maxime "Quand au Tabor un Volo(boy) l’oeil brillant se promène, le lendemain à l’Armet c’est une grande ligne qu’il enchaine..."

1er mars 2006 de Lambert Romain - Armet Rouge

Une bien belle réalisation en effet, réunissant entre autres l’inoxydable Volo et son jeune Padawan, j’ai nommé Lionel Tassan. Dommage que vous n’ayez pas été un poil plus nombreux pour cette ouverture, car un "Armet des Douze Singes" aurait également pu baptiser cette ligne de façon sympathique... En tous cas félicitations !

4 mars 2006 VSH

A Sandrine : cette Ligne n’est pas la première à combler le deficit des "NC" relevé dans ODA. Il y a eu auparavant le couloir du Petit Armet ouvert par LTA and co et repris par Matthieu (MBO) avec Romain, Max et François dans un superbe enchainement avec la Rosière. Comme le fait remarquer Matthieu il y a encore pas mal de lignes (dont quelques unes sans rappels) à ouvrir sur les deux versants des deux groupes (Lac, Armet) de ce chaînon assez incroyable. Je pense que le plus intéressant est justement le tricotage est-ouest, dans la lignée de ce qui vient d’être fait.

En ce qui concerne la couleur, il y a sur l’arête, environ 0,1 km au nord de la Ligne (pt 2762) un amoncellement de rochers d’un rouge surprenant.

Et pour Romain, mes references cinoche remonteraient plutôt à la mosfilm d’avant-guerre (Einsenstein), Hollywood fiftees, voire british sixtees. Mais je reconnais que Gilliam c’est pas mal non plus.