Dictature sanitaire : une résistance encourageante
lundi 19 juillet 2021 par SHAHSHAHANI Volodia
Le 17 juillet, en réponse à la nouvelle agression du régime, des manifestations se sont déroulées dans la plupart des villes de France contre l’obligation vaccinale annoncée par Macron le 12 juillet.
Ces manifestations semblent avoir été massives, surtout si on tient compte de l’ "estimation" faite par les autorités (120 000), que l’on doit pouvoir affecter d’un petit coefficient.
Cette mobilisation présente des points communs avec celle des Gilets Jaunes, pas ou peu de présence politicienne, des jeunes et des vieux ensemble. Il n’en fallait pas plus pour que se déchaîne à nouveau la pègre politico-médiatique avec les habituelles désignations, cette fois avec un peu de désordre : "antifas gauchistes" pour les uns, "extrême droite" pour d’autres, "complotistes" et bien entendu "antisémites" pour tous.
Il est intéressant de rapprocher ces manifestations de l’énorme claque subie par le régime lors des élections régionales, avec 70% d’abstentions (sans compter les ayants-droits non inscrits), majoritairement chez les pauvres et les jeunes. Cette résistance introduit une nouvelle forme de suffrage censitaire, l’offre électorale étant à sens unique, de gauche à droite.
Cela en dit long aussi sur les contre-feux montés conte les Gilets Jaunes. Aux LBD tirés pour éborgner les manifestants, "on" avait convoqué des (contre-) manifestations sociétalistes les mêmes samedis, prétendument pour "sauver le climat".
A la lumière de ces deux évènements (abstentions, manifestations), Il semble aujourd’hui que ce n’est pas LA jeunesse qui serait uniformément intoxiquée par le C02 et les prémonitions d’une enfant handicapée utilisée aux fins de propagande.
Les "climateux" ne sont pour la plupart que des jeunes bourgeois obéïssants. Leur servilité aux dogmes imposés est récompensée à travers des organisations dites "écologistes" par les taxes volées dans la poche des pauvres, ceux qui non seulement ne parviennent pas à nourrir correctement leurs enfants mais à qui on tente d’interdire de se déplacer.
On peut espérer que l’expérience "covid" qui touche à la santé, et dont chacun a pu mesurer que l’instillation de la peur était l’unique motif des serviteurs de la ploutocratie, puisse ouvrir les yeux de ceux qui sont encore obnubilés par l’autre terreur, la culpabilisation quant au prétendu "dérèglement climatique".
La concomitance de la dictature sanitaire avec les débordements torrentiels en Allemagne et en Belgique, parfaitement traditionnels, pourrait accélérer la prise de conscience. Même le GIEC n’a pas osé en imputer, une fois n’est pas coutume, la responsabilité au pseudo "réchauffement climatique anthropique". Voir aussi ici
Quant à la vaccination (laquelle ?) contre le covid (lequel ?) la prudence semble à cette heure le meilleur des remèdes